La Réserve Naturelle Nationale de Termit et Tin-Toumma au Niger abrite un cortège d’espèces incroyables adaptées au désert et pour certaines, les derniers représentants de leur genre au Niger, tel que le guépard du Sahara.
Depuis la création de cette aire protégée en 2012, très peu d’observations ont été réalisées, mais quelques traces permettent de croire en une présence du guépard encore permanente mais cachée. Après trois ans d’absence d’observations directes, d’empreintes ou autres preuves de présence, des traces indiquant la présence du félin ont été signalées fin 2018.
Depuis régulièrement, des empreintes, des excréments, des restes de repas sont observés. Pour tenter d'obtenir la preuve irréfutable de sa présence, un ensemble de pièges caméras ont été placés à des endroits stratégiques de la Réserve afin de couvrir les zones où la présence du guépard semble probable.
Ainsi pendant 5 mois, de décembre 2019 à avril 2020, plus de 62 000 photos de faune ont été réalisées, de nuit comme de jour.
Malheureusement aucun guépard n’a été photographié. Par contre, une abondance de proies a été constatée, avec des photos de gazelles dorcas, de gazelles dama, d’ânes, confirmant l’hypothèse que l’habitat est favorable au guépard. Le nombre de pièges caméras va être augmenté et leur positionnement affiné pour enfin retrouver la trace des derniers guépards du Niger...
Néanmoins ces photos ont permis de démontrer l’incroyable richesse du patrimoine naturel de la Réserve avec également des photos de ratels, de chats de Lybie, de fennecs, de loups dorés africains, d’outardes de nubie, de lièvres du cap, etc. Une richesse qui une fois encore justifie pleinement, si cela était nécessaire, l’engagement de Noé au côté du Niger pour la gestion sur le long terme de cette magnifique aire protégée.
Depuis la création de cette aire protégée en 2012, très peu d’observations ont été réalisées, mais quelques traces permettent de croire en une présence du guépard encore permanente mais cachée. Après trois ans d’absence d’observations directes, d’empreintes ou autres preuves de présence, des traces indiquant la présence du félin ont été signalées fin 2018.
Depuis régulièrement, des empreintes, des excréments, des restes de repas sont observés. Pour tenter d'obtenir la preuve irréfutable de sa présence, un ensemble de pièges caméras ont été placés à des endroits stratégiques de la Réserve afin de couvrir les zones où la présence du guépard semble probable.
Ainsi pendant 5 mois, de décembre 2019 à avril 2020, plus de 62 000 photos de faune ont été réalisées, de nuit comme de jour.
Malheureusement aucun guépard n’a été photographié. Par contre, une abondance de proies a été constatée, avec des photos de gazelles dorcas, de gazelles dama, d’ânes, confirmant l’hypothèse que l’habitat est favorable au guépard. Le nombre de pièges caméras va être augmenté et leur positionnement affiné pour enfin retrouver la trace des derniers guépards du Niger...
Néanmoins ces photos ont permis de démontrer l’incroyable richesse du patrimoine naturel de la Réserve avec également des photos de ratels, de chats de Lybie, de fennecs, de loups dorés africains, d’outardes de nubie, de lièvres du cap, etc. Une richesse qui une fois encore justifie pleinement, si cela était nécessaire, l’engagement de Noé au côté du Niger pour la gestion sur le long terme de cette magnifique aire protégée.