Dans le cadre des activités d’appui à la gestion des aires protégées, Noé s’est porté candidat en 2019 auprès du Ministère de l’Économie Forestière de la République du Congo à l'occasion du recrutement d’une organisation pour l’appui à la gestion du Parc National de Conkouati-Douli (PNCD). Nous sommes aujourd’hui honorés d’annoncer que l'association Noé est retenue au terme de la procédure de sélection, et que nous sommes très heureux de la confiance accordée par le Gouvernement congolais envers notre ONG.
Là où la forêt équatoriale rencontre le puissant océan Atlantique entrecoupé par un fleuve serpentant, créant des zones humides uniques et des lagunes imposants, le parc de 500.000 ha offre certaines des meilleures vues de l'Afrique.
Le Parc National de Conkouati-Douli abrite ainsi une variété unique d’écosystèmes, avec une magnifique mosaïque de savanes, lagunes et forêts côtières, terrain de jeu de la grande faune emblématique d’Afrique Centrale dont l’éléphant et le buffle de forêt, la panthère et le Sitatunga.
Les forêts de montagnes du Mayombe, sont en plus un véritable refuge d’endémisme pour la flore et pour les grands singes, tout particulièrement pour les chimpanzés avec 7% de la population mondiale qui y demeure.
La grande lagune de Conkouati et son embouchure bordée de mangroves, accueillent également des hippopotames et lamantins et est en même temps une véritable zone frayère pour les nombreuses espèces de poissons et espèces marines telles que les raies et requins du Golfe de Guinée. Les grandes plages du parc font partie du deuxième plus important site au monde (après la Guyane) pour le ponte des tortues Luth, un imposant reptile préhistorique pesant jusqu’à 900 kg.
En mer enfin, on y trouve des dauphins et des baleines à bosse, assurant un spectacle magnifique chaque année avec des sauts imposants pendant la parade sexuelle.
En dehors de son potentiel touristique évident, ce parc national joue actuellement un rôle social et économique important pour le Congo grâce notamment à son interface maritime de plus de 1 200 km² qui assure le renouvellement des stocks de poissons pour le pays et qui pourrait permettre le développement d’une filière de pêche artisanale pourvoyeuse d’emplois et de revenus économiques pour les communautés locales.
Copyright photo centrale : Dr Kristian Metcalfe (Centre for Ecology and Conservation - University of Exeter)
Là où la forêt équatoriale rencontre le puissant océan Atlantique entrecoupé par un fleuve serpentant, créant des zones humides uniques et des lagunes imposants, le parc de 500.000 ha offre certaines des meilleures vues de l'Afrique.
Le Parc National de Conkouati-Douli abrite ainsi une variété unique d’écosystèmes, avec une magnifique mosaïque de savanes, lagunes et forêts côtières, terrain de jeu de la grande faune emblématique d’Afrique Centrale dont l’éléphant et le buffle de forêt, la panthère et le Sitatunga.
Les forêts de montagnes du Mayombe, sont en plus un véritable refuge d’endémisme pour la flore et pour les grands singes, tout particulièrement pour les chimpanzés avec 7% de la population mondiale qui y demeure.
La grande lagune de Conkouati et son embouchure bordée de mangroves, accueillent également des hippopotames et lamantins et est en même temps une véritable zone frayère pour les nombreuses espèces de poissons et espèces marines telles que les raies et requins du Golfe de Guinée. Les grandes plages du parc font partie du deuxième plus important site au monde (après la Guyane) pour le ponte des tortues Luth, un imposant reptile préhistorique pesant jusqu’à 900 kg.
En mer enfin, on y trouve des dauphins et des baleines à bosse, assurant un spectacle magnifique chaque année avec des sauts imposants pendant la parade sexuelle.
En dehors de son potentiel touristique évident, ce parc national joue actuellement un rôle social et économique important pour le Congo grâce notamment à son interface maritime de plus de 1 200 km² qui assure le renouvellement des stocks de poissons pour le pays et qui pourrait permettre le développement d’une filière de pêche artisanale pourvoyeuse d’emplois et de revenus économiques pour les communautés locales.
Copyright photo centrale : Dr Kristian Metcalfe (Centre for Ecology and Conservation - University of Exeter)