Il est principalement nocturne, ce qui est flagrant lorsque l’on voit ses gros yeux noirs qui lui permettent de voir dans l’obscurité.
Comme beaucoup d’animaux nocturnes, il est très discret dans sa période active entre mai et octobre, et disparait complètement durant sa période de léthargie en hiver. Sa mignonne petite frimousse est donc très difficile à observer !
On sait cependant que c’est une espèce arboricole qui vit plutôt dans des forêts de feuillus ou mixtes, ainsi que dans les milieux buissonnants, comme les bocages riches en buissons, ronces et taillis.
Le muscardin prend ses quartiers d’été dès le mois de mai, en construisant un (ou plusieurs dans le cas de double nichées) nid individuel pour la reproduction, dans les buissons avec des feuilles et de l’herbe. Ils se regroupent ensuite à la fin de l’automne dans des grands nids communs sous terre pour passer l’hiver.
Très sensible aux couloirs de naturalité, il est menacé dans certaines régions en France et ailleurs en Europe, sauf localement comme en Lituanie, son aire de répartition naturelle. Il est de façon surprenante absent de la péninsule Ibérique alors qu’il est présent en Angleterre et en Scandinavie. Il fait d’ailleurs partie de l’Annexe IV de la DHFF (directive habitat faune-flore) de l’Union Européenne ce qui lui confère un statut de protection.
Participez à la conférence de Noé le 14 octobre, avec la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise et le PNR du Vexin : en savoir plus sur la conférence
Traquez le muscardin avec la quête dédiée sur "INPN Espèce" pour en savoir plus sur ce mystérieux petit animal !
Références :
Comme beaucoup d’animaux nocturnes, il est très discret dans sa période active entre mai et octobre, et disparait complètement durant sa période de léthargie en hiver. Sa mignonne petite frimousse est donc très difficile à observer !
On sait cependant que c’est une espèce arboricole qui vit plutôt dans des forêts de feuillus ou mixtes, ainsi que dans les milieux buissonnants, comme les bocages riches en buissons, ronces et taillis.
Le muscardin prend ses quartiers d’été dès le mois de mai, en construisant un (ou plusieurs dans le cas de double nichées) nid individuel pour la reproduction, dans les buissons avec des feuilles et de l’herbe. Ils se regroupent ensuite à la fin de l’automne dans des grands nids communs sous terre pour passer l’hiver.
Il peut doubler son poids à l’automne en vue de son hibernation, et sort chétif de son sommeil, à seulement une vingtaine des grammes, au printemps. Il se nourrit volontiers de bourgeons, de fleurs, de baies, de graines et d'insectes qui s’offrent à lui au fil des saisons. Bien qu’on ne l’aperçoive pas souvent, on peut cependant détecter sa présence par des traces assez atypiques : les trous dans les noisettes qu’il consomme sont parfaitement ronds et lisses !
Très sensible aux couloirs de naturalité, il est menacé dans certaines régions en France et ailleurs en Europe, sauf localement comme en Lituanie, son aire de répartition naturelle. Il est de façon surprenante absent de la péninsule Ibérique alors qu’il est présent en Angleterre et en Scandinavie. Il fait d’ailleurs partie de l’Annexe IV de la DHFF (directive habitat faune-flore) de l’Union Européenne ce qui lui confère un statut de protection.
Les prochains événements pour en apprendre plus sur la biodiversité nocturne
Découvrez le monde nocturne et ses espèces fascinantes lors du Jour de la Nuit, le 9 octobre, partout en France !Participez à la conférence de Noé le 14 octobre, avec la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise et le PNR du Vexin : en savoir plus sur la conférence
Traquez le muscardin avec la quête dédiée sur "INPN Espèce" pour en savoir plus sur ce mystérieux petit animal !
Références :