Un partenariat collaboratif pour des objectifs partagés !

L’objectif du projet BIONAT est de développer et faire reconnaître des filières biologiques pour les produits forestiers et agroforestiers au Cameroun, comme levier de stabilisation, de développement socio-économique durable et de conservation de la biodiversité, dans et autour des aires protégées du Dja et de la Bénoué.
© Nicolas-Alain Petit / Biosphoto
05 octobre 2020
Activités de lancement du projet BIONAT avec les partenaires TFRD, TFFC et CERAF, le 4 juillet et 12 août 2020.

Lancement des activités BIONAT avec l’équipe CERAF à Garoua, Gouna.

L’objectif du projet BIONAT est de développer et faire reconnaître des filières biologiques pour les produits forestiers et agroforestiers au Cameroun, comme levier de stabilisation, de développement socio-économique durable et de conservation de la biodiversité, dans et autour des aires protégées du Dja et de la Bénoué.

Le 4 juillet et le 12 août 2020 se sont tenus deux ateliers conjoints avec les partenaires afin d’organiser et planifier la mise en œuvre et le suivi du projet. Il a également été question pour les partenaires d’identifier les principaux challenges et risques sur les objectifs et activités, et d’élaborer des plans d’action détaillés pour chaque composante du projet. Une vision du projet et de ses ambitions a été repartagée et les bases du partenariat enrichies, afin d’atteindre les résultats fixés :

Lancement des activités BIONAT avec les équipes de TFRD et TFFC à Yaoundé.

  • Au moins 2 filières durables sont commercialisées sur le marché camerounais, rentables économiquement et génèrent des impacts socio-environnementaux positifs ;

  • Au moins 600 producteurs, dont plus de 60% femmes, formé·e·s et organisé·e·s, et qui développent des produits suivant les standards de durabilité biologique ;

  • Au moins 65 t de produits issus de filières pro-biodiversité sont écoulées sur les marchés nationaux et internationaux ;

  • Une gamme de produits cosmétiques naturels camerounais est mise sur le marché ;

  • Les entreprises de transformation et commercialisation appuyées s’approchent de l’autonomie financière ;

  • Des liens durables seront tissés avec les acheteurs urbains et/ou internationaux ;

  • Une série d’innovations clés sont testées et diffusées (cahier des charges cacao biologique avec garantie de protection de la forêt, produits innovants, itinéraires techniques, marketing etc.) ;

  • Les acteurs de la société civile et économique sont mobilisés en faveur d’une future reconnaissance institutionnelle et professionnelle du bio au Cameroun.
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